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COMMENT OUVRIR UN SALON DE THE

Le logiciel qui réalise votre business plan en deux clics

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COMMENT OUVRIR UN SALON DE THE ?

Ouvrir un salon de thé est le rêve de nombreux entrepreneurs. Bienvenue dans un cadre agréable, découvrez mille et un thés, offrant un moment de paix et de rafraîchissement. Outre cette vision de carrière lumineuse, se lancer dans un salon de thé demande de l’habileté et une bonne compréhension des obligations légales.

Nos conseils dans cet article sont spécifiques aux soucis d’ouverture de salon de thé notamment :

  • Compétences et qualifications requises avant de commencer ;
  • Définition du concept de salon de thé ;
  • Choisissez le lieu ;
  • Analysez les coûts et prévoyez les profits de votre salon de thé.

Nous allons vous en parler davantage dans cet article.

Quels sont les prérequis pour ouvrir un salon de thé ?

Pas besoin de diplôme pour ouvrir un salon de thé, un restaurant, un café ou une épicerie. Ces activités de vente nécessitent des compétences d’accueil, de gestion commerciale et de communication, mais aucune qualification particulière n’est requise.

Pourtant, l’éducation dans ce domaine peut s’avérer bénéfique pour les entrepreneurs novices qui cherchent à ouvrir un salon de thé, à l’exception qu’il n’y a pas de diplôme pour ouvrir un salon de thé.

Si un entrepreneur souhaite également produire des biscuits pour boissons, il doit obtenir un CAP Biscuiterie ou justifier de trois ans d’expérience dans des activités similaires. Dans ce cas, l’activité est commerciale et artisanale. Dans ce cas, l’entrepreneur peut soit suivre un stage de préparation à l’installation (SPI), soit être dispensé du stage d’auto-entrepreneuriat, en fonction de l’expérience acquise.

Cependant, depuis l’entrée en vigueur de la loi PACTE le 24 mai 2019, le SPI est facultatif et non obligatoire pour les entrepreneurs qui souhaitent démarrer une activité artisanale.

Quelles sont les différentes étapes d’ouverture d’un salon de thé ?

Même lorsqu’on envisage un projet comme l’ouverture d’un bar, d’une librairie, d’un commerce ou d’un salon de thé, il est important de s’organiser pour que cela puisse se faire. Suivre quelques étapes vous permettra de fluidifier sereinement le processus de création de votre entreprise :

  • Réfléchir à un concept original ;
  • Développer des études de marché ;
  • Rédiger un plan d’affaires ;
  • Détermination de l’emplacement : sélection des locaux ;
  • Identifier les partenaires et fournisseurs potentiels ;
  • Planification des communications.
  • Pensez à un concept original

La réussite d’un salon de thé nécessite une étude sérieuse de l’idée. Il existe donc plusieurs variantes du salon de thé :

  • Salon de thé bibliothèque ;
  • Le salon de thé explore les thés du monde entier ;
  • Salon de thé sur les bienfaits du thé pour la santé;
  • Salon de thé, espace de co-working, etc.

La singularité du projet peut aussi résider dans la décoration ou les activités et animations proposées : salon de thé avec galerie d’art, salon de thé littéraire, décoration florale, dépaysant ou de charme de l’année écoulée…

Autant de bonnes raisons d’autoriser le thé buveur à voyager dans le temps et dans l’espace. Nous devons également déterminer si nous ouvrons un salon de thé en franchise ou si nous créons une marque indépendante.

Par conséquent, une étude de marché substantielle est nécessaire avant de toucher le marché.

Élaborer une étude de marché

Votre étude de marché doit inclure une analyse détaillée de votre concurrence, y compris les salons indépendants, les grandes marques (comme les cafés) et les boulangeries avec salons. En listant vos concurrents, en identifiant leurs forces et leurs faiblesses (prix, image, qualité, etc.) et en identifiant leurs politiques commerciales, vous pouvez déterminer votre offre actuelle et trouver les moyens de vous démarquer activement.

De plus, l’analyse du profil des clients potentiels est essentielle pour adapter les offres des salons selon l’âge, catégories sociales professionnelles, habitudes de consommation, avis sur les offres existantes, etc. Définir les besoins et les préférences des clients est la demande dans votre région. Pour obtenir ces précieuses informations, demandez simplement à votre clientèle cible de remplir un sondage.

Rédiger un business plan

Un plan d’affaires est essentiel lors d’une demande de prêt ou de subvention. Celui-ci permet aux banquiers d’évaluer la faisabilité du projet et leur motivation à le poursuivre. C’est avant tout un document qui montre la rentabilité prévisionnelle de l’opération et justifie sa cohérence. Plus précisément, les plans d’affaires comprennent généralement :

  • Présentation du fondateur du projet : sa biographie, ses motivations, etc. ;
  • Une description du projet et de ses forces, faiblesses, opportunités et menaces.
  • De nombreux états financiers, dont les calculs sont décrits dans plusieurs paragraphes, déterminent les comptes de résultat et les bilans prévisionnels.
  • Analyse de la clientèle cible et développement de la stratégie marketing.
  • Plan de financement du projet. • Définition de l’emplacement : sélectionnez l’emplacement

Bien sûr, le choix de l’emplacement est essentiel et st généralement situé dans le centre-ville, avec des transports fixes et un bon accès (transports publics, parking, etc.).

En fait, son emplacement dynamique avec des cinémas, des boutiques et des centres culturels assure un attrait constant.

Cependant, il est important de se renseigner sur les projets de développement urbain autour de la zone.

Enfin, le bail commercial doit être soigneusement étudié. Une attention particulière doit être portée non seulement aux prix de location, aux équipements des installations, mais également à toutes les conditions annexes telles que les options de transfert dans les baux commerciaux.

Identifier les partenaires et les potentiels fournisseurs

Pour ouvrir un salon de thé, vous avez besoin de certaines fournitures. Afin de créer une grande variété de produits, il est nécessaire d’approcher des fournisseurs. Ensuite, il est impératif de conclure un contrat avec le fournisseur d’énergie (électricité, gaz, Internet pour le Wifi).

Et si vous ne faites pas vos propres pâtisseries qui sont vendues dans votre salon, vous pouvez obtenir des gâteaux et des biscuits fraîchement sortis du four en nouant une relation d’affaires avec une boulangerie de votre région.

Choisir son statut juridique

Le choix d’une forme juridique est une étape importante pour les nouvelles intentions entrepreneuriales qui se lancent dans la voie entrepreneuriale. Chaque forme juridique d’entreprise a ses propres règles et structures et doit également être prise en considération en ce qui concerne les objectifs à moyen et long terme, le nombre d’actionnaires ou les activités prévues.

Ainsi, les formes juridiques suivantes sont possibles :

Micro-entrepreneurs : si le démarrage d’une microentreprise vous permet de démarrer un salon de thé, cela n’est pas recommandé. En effet, l’installation nécessite un investissement initial important et le statut de micro-entrepreneur risque d’empêcher les banques et les organisations de recevoir des subventions. De plus, vous ne voulez pas pouvoir déduire les dépenses réelles telles que le loyer commercial, les fournitures, les meubles, les décorations et la publicité.

Entreprise individuelle : Vous pouvez donc choisir l’assurance-emploi, mais cette option présente deux inconvénients principaux. En revanche, le patrimoine personnel d’un entrepreneur n’est pas protégé par ce seul statut. Au contraire, les conditions de Sécurité sociale sont fixées par des fondations importantes, ce qui peut augmenter inutilement la trésorerie.

Société à Responsabilité Limitée (SARL) ou Société par Actions Simplifiée (SAS) si le projet est multipartite,

Société par Actions Unipersonnelle Simplifiée (SASU) ou Société Unique à Responsabilité Limitée (EURL) si vous êtes entrepreneur.

Le statut juridique qui convient le mieux à un projet de salon de thé en cas de création d’entreprise est au départ plus difficile en raison des formalités nécessaires pour obtenir une image favorable auprès des banques et des organisations, y compris la déduction des frais réels, la protection des biens personnels des partenaires et la location commerciale dans des emplacements de choix.